La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1447)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1439) -
même si visiblement on mavait volontairement poussé à la faute
Après la pose de la cage, je fus ramené à ma cellule sans autre commentaire. Epuisé physiquement et mentalement par une nuit blanche et tant d'émotions, je sombrai rapidement dans un profond sommeil. On m'accorda ainsi quelques heures de répit. Dans mon isolement, j'ignorais totalement l'écoulement du temps, conscient d'ailleurs que pour un esclave ainsi reclus l'unique référence doit être la Volonté du Maître. Jour ou nuit, horaires, peu importe, l'esclave n'est qu'un instrument qui attend le bon Vouloir du Maître en dehors de tout autre action. Attendre et servir, ce sont les deux seuls mots qui comptent. Je ne savais donc pas du tout à quel moment de la journée nous étions lorsque lhomme qui mavait reçu à mon arrivée, vint poser une gamelle à travers les barreaux de ma cage. Une bouillie épaisse sans grande saveur mais revigorante que je lapais avec délectation, nu et affamé, n'ayant depuis 24h rien absorbé d'autre que La Semence des Supérieurs ayant empli ma bouche tout au long de la soirée de la veille. Puis, le Majordome toujours aussi muet et impassible comme une porte de prison me fit sortir de ma cellule et fixa une laisse au collier que je portais au cou afin de m'entraîner à l'extérieur.
Il faisait froid et mon corps tremblait quelque peu, mais je n'avais pas le choix, ce n'est qu'ainsi, à l'extérieur tenu en laisse qu'il m'était permis de faire mes besoins, tel le chien bien dressé que j'étais devenu, abandonnant même à la Volonté du Maître des moments et des actes aussi intimes, aussi personnels pour toute personne libre, mais devant se soumettre à certaines règles pour un esclave qui n'a plus la moindre parcelle d'autonomie qu'elle soit mentale ou physique. Et mon intimité, de fait ne mappartenait plus, elle était désormais la Propriété du Maître
Ainsi je fis mes besoins sous le regard méprisant du Majordome avant de regagner la salle d'enfermement.
La période état importante, car à la faculté, c'était celle des partiels. Le Maître avait établi un emploi du temps redoutable : Le matin, dès 6h, l'esclave se réveillait et avait pour première tâche de la journée de préparer le petit-déjeuner du Marquis Edouard d'Evans. Puis, avec délicatesse, ma première fonction consistait à aller réveiller Le Maître. Avec respect et attention, me tenir à genoux au pied de Son lit et attendre Son Bon Vouloir... Parfois, Le Maître appréciait ainsi une fellation matinale, se levant sans rien dire et venant placer Son Sexe en érection dans la bouche de Son esclave, appuyant sur la nuque afin de bien s'enfoncer et de se soulager lors d'une gorge profonde pour bien commencer Sa journée. Il prenait ensuite Son petit-déjeuner que je Lui servais, avant d'aller faire Sa toilette tandis que je desservais. Connaissant par cur son emploi du temps, je préparais les livres ou cahiers dont Il pourrait avoir besoin et à genoux, je lui tendais Ses affaires lorsqu'Il s'en allait.
Le soir, lorsque Le Maître rentrait, j'avais préparé Son dîner. Parfois je devais Lui servir un verre, sinon, tandis qu'Il révisait, je me tenais au coin, silencieux et à genoux, mains jointes sur la nuque ou dans le dos... Immobilité et silence étaient les deux conditions exigées, sous peine de sévères corrections. Et ce n'est qu'après avoir servi le dîner, desservi et fait la vaisselle, que Le Maître vérifiait que Son esclave avait également fait des efforts pour préparer les examens. Nu naturellement, et à genoux, je me tenais devant Le Maitre, qui m'interrogeait sur mes cours de la journée. A la moindre hésitation ou erreur, je devais tendre les bras et me tenir ainsi, les paumes des mains vers le haut. Les coups de Sa Fine Badine s'abattaient alors avec sévérité, trois coups pour une faute, cinq pour la deuxième, sept pour la 3e. Et si par malheur je commettais plus de trois fautes, une fois la leçon terminée, c'est sur ma croupe que s'exerçait le cinglant châtiment et par dix fois... au moins ! En cette période studieuse, Le Maître n'admettait pas le moindre écart et mon corps portait les traces du moindre manquement aux règles très strictes établies par Lui...
Je me souviens même quun soir, alors que je navais pas eu le temps de réviser consciencieusement pour mes partiels du lendemain car javais passé tout mon temps à satisfaire le Maître, je vécus un autre châtiment qui me fut profitable pour les résultats de mes partiels : Lorsque le Maître minterrogea, ment jétais dans lincapacité de répondre. Après les coups de badine sur mes mains tendues et ma croupe, Il décida de ne pas en rester là afin que je sache répondre à mes proches examens. Il exigea que je révise et donc que je réapprenne tous les cours et toutes les matières concernées durant la nuit. Il mimposa donc une nuit blanche.
Le week-end, cependant, constituait une sorte de bulle dans cette période si studieuse.
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!